domingo, 28 de marzo de 2010

Encore l'imaginaire: Essai II Culture, religion et santé

Essai II
Relation entre l’imaginaire religieuse et la représentation culturelle de l’enfance avec le droit aux soins ou l’accès aux soins de santé: analyse comparative entre la RDC et l’Equateur




• Présage

• Du vécu religieux dans la ligne Equatorial

o La cosmovision religieuse perçue en RDC

o La cosmovision religieuse perçue dans l’Equateur

• De l’émergence du fantôme de l’enfance dans le cosmo métissage tropical

o La représentation culturelle perçue de l’enfance en RDC

o La représentation culturelle perçue de l’enfance dans l’Equateur

• Conjures, rituels et Amoxicilline 250 : le droit acquiescé d’accès a la mort.

o Le droit d’accès aux soins de santé dans la RDC, rituels et conjures

o Le droit d’accès aux soins de santé dans l’Equateur, rituels et conjures

• De Tarapoa à Boende : l’insidieux délire déguisé en relation consentie

o Relation entre l’imaginaire religieuse perçue et la représentation culturelle de l’enfance en RDC et dans l’Equateur.

Les manifestations religieuses au Congo se regroupent au tour du culte aux ancêtres. La projection de la vie d’un individu avec le sacré n’est pas fixée sur le concept d’un nouvel être, produit d’une nouvelle conception. Au Congo l’enfant est une prolongation d’une vie adulte antérieure. La mite du nouveau né, innocent et inerme, est imperceptible. La pureté du nouveau né est son authenticité ne sont pas garantie dans l’imaginaire local. Cette ingénuité en occident est une de pilier justificatif de ses droits, même si il n’est pas le plus indispensable.

Les conceptions religieuses congolaises identifient l’enfant comme un être – lien avec l’ancêtre. Il est le « retour » d’un ancien membre de la famille, a qui on nome justement avec les prénoms de ces grands pères. Le nouveau né et après l’enfant est en processus de révélation, il se identifie pleinement dans et avec la famille comme le retour d’un ancien membre déjà décédé. Ce processus de souvenirs ne permet pas identifier l’enfant comme un être qui grandi de façon spontané et libre. Il arrive en connaissance de cause et par conséquence il n’est pas innocent. Il est un être face au devoir de se souvenir de sa culture et de ses normes et pas un être en apprentissage ou formation. De cette idée est né la vision que l’enfant n’est pas un être vulnérable même biologiquement, deuxième facteur qui difficulté sa priorisation dans la famille et société. La structure de la pensé de l’enfance comme concept culturel est aussi faible et dirais je presque ňEn Equateur, le syncrétisme est beaucoup plus visible. La religion catholique a implanté la vision de l’enfant Jésus, comme un icône qui représente la noblesse, la divinité en potentialité mais aussi le candeur, la limpidité, la transparence d’un nouveau être, avec la divinité en soi. L’enfant Jésus est finalement Dieu lui-même.

François d’Assis, selon l’église catholique eu l’idée de représenter l’enfant Jésus avec un nouveau née dans les fêtes de nativité. Cette habitude a pris profondément dans la culture religieuse locale. Cette relation est devenue historique avec les béatifications des enfants latino-américaines comme Laura Vicuňa (Chile, Juan Pablo II, 1988). D’autres personnalités comme Térésa des Andes ont aussi renforcé ces liens entre enfance et sanctification. En Espagne, Alexia est en processus de béatification, en étant un exemple sur la relation de l’enfance avec la sanctification à travers la souffrance de la maladie.



....”cuando una persona joven fallece, sus companeros salen a bailar y cantar en las calles pidiendo dinero a las personas de su misma edad. Es una costumbre de duelo en Ikela. Es que puede haber una mejor manera de compartir el duelo? Es que la cultura de Ikela puede ser mas vivencial aun ? Es un mensaje a occidente ?

Ni Abya Yala es mas sensible a la vida que aqui !

Las culturas bantus creen en la vida post muerte. Por eso se baila para agradar al muerto, para que ruegue por los vivos. Se cree que se muere por haber sido envenenado, por eso se entierran a las esposas del difunto, deben ser culpables, nadie muere solo, alguien se lo desea. La muerte es un hecho social, participativo. Para la tribu Monro, un grupo de los Bantues, que emigraron del Sahara, buscando tierras fertiles y asi llegaron a lo que hoy es el Congo. Me parece que eligieron bien viniendo hacia el sur, porque al norte estaba el mar Mediterraneo. Aparentemente estos pueblos no eran navegantes como los fenicios. Aqui la poligamia sigue siendo de actualidad, un hombre rico e influyente puede tener entre cinco y diez mujeres, antes hasta veinte. Se buscaba la gran familia que podia ayudar en los trabajos agricolas, actualmente la agricultura esta en crisis, no hay como transportat los productos con seguridad y facilidad, ademas no hay mercado. El “sorora” es otra practica cultural. Es el hecho por el cual un viudo reemplaza su esposa difunta con la hermana menos, es decir su cunada mas joven. El “levira” en cambio es que las esposas del marido difunto, se reparten entre los hermanos del fallecido, es decir los cunados, con prioridad al mayor. La cirucunsicion es obligatoria como practica ritual, las mujeres no aceptan un hombre no cinrcunciso como esposo. El SIDA es una enfermedad de blancos y citadinos, producto de brujería y encantamiento. Se utiliza la vía rectal para los medicamentos naturales con una pera que insufla los jugos de plantas en el colon del infante sobre todo, como las calas.



Segun algunos intelectuales locales, la prostitucion no existio nunca, es un vicio importado de occidente, otros sostienen que ella ha sido institucionalizada. Una mujer con un solo marido no era considerada una “buena” mujer y ademas cuando una de las mujeres no era aceptada por el marido poligamo, esta podia ser cedida a otro esposo que la aceptara. Actualmente las mujeres abandonadas por sus maridos, quedan en el « vagabundaje » sinonimo de prostitucion en una cultura que se ha convertido en sedentaria a ultranza a pesar de sus origenes nomadas en el Sahara. Desde un punto de vista medico, el hecho que estas poblaciones son influenciadas fuertemente por la religion catolica que no promociona el preservativo, convierte e un contaminado en hiper contaminador en poco tiempo. Comprendemos ahora el alto nivel de seropositividad en el Africa subsahara?





o Relation entre l’imaginaire religieuse perçue et l’accès aux soins de santé en RDC et dans l’Equateur

La relation avec la divinité dans la RDC que j’ai pu connaître, a une reconnaissance multidimensionnelle, une relation multiple et variée qui s’imprègne d’une vision presque panthéiste. La présence du sacré est un vécu quotidien est permanent ; il habite dans l’aire.

La structure religieuse dans la RDC joue par conséquence, un rôle dans la dynamique sociale, sur tout sur l’importance de l’enfance, mais aussi sur la perception des services de santé occidentaux ou à l’occidentale. Ce syncrétisme de perception même, est devenu visible pour moi, dans ce mélange entre les soins hospitaliers comme un droit et les soins comme un palliative, ou simplement comme une formalité légale ou social. L’idée que la vie humaine à une durée préétablie par la nature, et que par conséquence les soins médicaux jouent un rôle de facilitateur simplement face a la maladie.

Dans un autre contexte, la maladie comme telle est perçue en grand parti comme le mal produit pour autrui. L’instrument est la sourcellerie ou la possession, mais toujours il y a une autre personne dans la communauté ou dans les alentours qui produit par ces envies, la maladie. La curation provienne toujours de l’intérieur de la communauté, et à une connotation magico – spirituelle.

Dans ce contexte, la relation entre soufrant et sa perception religieuse de sa « maladie » modifie l’accès aux soins.

En Equateur, parmi la population amérindienne la maladie provienne pour la surexposition au froid ou la chaleur. Un autre élément est le du vent ou l « espanto » une espèce d’exposition aux esprits du au delà. Par contre dans les villes, la conception occidentale de la médecine est plus forte. Par conséquence la conception du sacré comme élément causal de la maladie ou de la souffrance a des points en commun entre les deux pays.

Le patient a un rôle passif dans ces conceptions ; il est victime d’autrui ou des énergies négatives de la nature. Dans la conception occidentale le patient est aussi la victime des éléments externes comme les bactéries ou virus qui attaquent un organe ou système corporel. Dans la conception au Congo et dans l’Equateur la maladie est holistique, systémique en attaquant tout l’être.



o Relation entre la représentation culturelle de l’enfance et l’accès aux soins de santé en RDC et dans l’Equateur.

Le vécu parmi les populations congolaises comme un « observateur engagé » m’a permis d’inventer un regarde multidimensionnelle. Quand je parle de vision multidimensionnelle, il faudrait comprendre comme une vision à partir de plusieurs points de départ. Ces points de départ culturels sont les « normes » du regard. Ma propre origine métissée et la pérégrination culturelle ou transhumance.

En relation avec la représentation de l’enfance, sur un angle grossier je pourrais raconter, m’impression peu solidaire sur cette réalité dans la comparaison entre le contexte congolais et équatorien : L’enfance comme entité avec une singularité claire est une espèce de fausse interprétation segmentée d’une réalité plus vaste. Pour les populations amérindiennes comme les Secoyas l’enfance est un état adulte des personnes du passé, c’est-à-dire les ancêtres. Paradoxe qui se rencontre avec la population congolaise rurale comme les Monro du foret congolais, pour qui il existe une espèce d’éternel retour des ancêtres, raison pour lequel dans le passé même les épouses du mort été enterrés avec, quand la personne jouisses d’une certaine position sociale.

L’enfance comme vécu a un point en commun, dans le deux contextes, elle est une image de civilisation et de créativité temporelle dans les deux sociétés. Une image en miroir d’un mimétisme occidentalisé qui a été fortement promotionné grâce aux projets humanitaires et d’autres. La valeur social de l’enfance en soi même a permis sa création comme entité singulier dans des cultures ou l’état adulte a primé comme seul représentation humaine accompagné de la vieillisse, état de sagesse et doté d’une auréole de respect dans s’utilité decrescendo face a la lutte pour la survie dans les milieux agrestes.

La priorité sociale a eu dans presque toutes les sociétés humaines une relation intime entre survivance du groupe et de l’individu. Dans le contexte des soins de santé primaire existant, la notion de priorité aux enfants dans les soins est une notion nouvelle.

• A guise de conclusion : Les ficelles de l’imaginaire religieuse et l’allégorie de l’enfance sur l’accès aux soins de santé en RDC et l’Equateur.



Occident n’accepte pas la mort. La médecine occidentale a une tache, presque une mission de combattre la mort, de trouver un antidote pour elle. De ce point de voue l’inaccessibilité aux soins est inadmissible, un crime contre l’humanité, contre la vie et le droit à l’éternité en soi. La médecine occidentale est devenu une lutte contre nature pour l’immortalité.

Dans l’Afrique noire et particulièrement les secteurs ruraux du Congo, le vécu de la mort est une situation toléré, un acte paradoxal de l’éternel retour des esprits, qui redeviennent « enfants ». La mort est une partie de la vie. La médecine a comme but, l’accompagnement du corps, son appui, mais pas nécessairement la lutte pour la vie éternelle. De ce point de vue, l’innascibilité aux soins a toute une autre perspective. La médecine occidentale aide à bien mourir, aide à soulager la douleur, mais elle ne cherche pas le chemin de l’immortalité.

Il n’existe des limites claires entre médecine et esprit religieux dans le vécu culturel de la RDC et l’Equateur interne. L’hégémonie de la logique occidentale n’a pas pu encore maîtriser ou s’imposer dans ces région de façon totalitaire comme ailleurs. La question est, réellement ce division entre vécu religieux et science existe-t-elle ?



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