miércoles, 20 de junio de 2012

Relation entre l'imaginaire religieuse et la représentation culturelle de l'enfance...

Tesis Ph.D
Universite Catholique de Louvain La Neuve
Belgique


Anthropologie Médicale et Cognitive


C. E. Montufar


Relation entre l’imaginaire religieuse et la représentation culturelle de l’enfance avec le droit aux soins de santé: analyse comparative entre la RDC et l’Equateur


« Une rencontre des sub systèmes culturels en suivant l’imaginaire dans la ligne équatoriale »

- Présentation sommaire du projet (chapitres) :
- Contexte et antécédents du projet
- Méthode
- Justification: pertinente, faisabilité, potentiel d’impact, liens avec les recherches existantes.
- Objectifs / Hypothèses
· Présage

La réalité, cette trame magique, construite entre suppositions et impositions, a été pendant les derniers dix ans de ma vie, une constante recherche dans le travail quotidien de coopérant international. Ce singulier dimension holistique a pris forme dans le vécu en trois continents, ouvrant dans mon esprit une certaine perspicacité vers l’intégralité du global.
Dans cette perspective, j’ai appris que son si importants, les idées que nous croyons connaître, comme « ça » que nos imaginaires permettent dans les traits sociales. Dans ce contexte, quelques questions ont pris forme. Voici les questions directrices, guides tendres, mais permanentes dans cette étude. Comme tout étude, probablement ce point de vue pourra être tenté de devenir aussi la vue dans seul point.
Quelle es l’influence de l’imaginaire religieuse contemporaine des sociétés défavorisées (Equateur – RDC), et de sa perception de l’enfance comme sujet de trame réel sur le droit d’accès aux soins de santé ?
La religion comme croyance modulatrice des conduites humaines joue sur la construction d’ages des hommes ? Quelle est sa relation avec l’enfance ? Comment la santé est vue à partir de la cosmogonie religieuse de ces peuples ? Quelle est la conception de la maladie comme élément mystique dans le vécu humaine ? Pouvons nous parler de santé ou maladie de façon indépendant ? Cette séparation a une raison d’être dans le vécu de ces populations ?
Quand nous parlons de droit d’accès nous sommes en train de nous référés aussi à l’acceptabilité du système de soins par les patients comme être avec une anthropo-logique propre.
La représentation santé – maladie comme concept, a un lien étroite avec la vision passive d’acceptation de quelque chose (le système de soins) sans option a la création de son design, point de base de la participation social et de la auto – construction humaine. Nonobstant, quels sont les tissus relationnels entre ce couple santé – maladie est le tout médical ? Lui, (système de soins) il réponde à la conception du couple ? Il existe de la même façon dans l’Equateur que dans la RDC, quelles sont ces variables ?
Quels sont les patrons conducteurs qui jouent sur l’accès aux soins ? Ces variantes et dynamiques…
· Du vécu religieux dans la ligne Equatorial (chapitre I)
Dans l’analyse présente, nous parcourrions en suivant la ligne équatoriale, les vécus entre RDC et l’Equateur, en faisant une ouverture générale sur la religion.
L’importance du vécu religieux dans l’imaginaire humaine est si déterminante que déjà Saint Augustin disais que les fausses et pernicieuses doctrines, ont fait plus de mal, que les épées des barbares dans le corps des espagnols[1]. Les perceptions religieuses jouent si fortement sur le comportement humain dans presque toutes les dimensions, que son analyse devienne incontournable dans le contexte de cette essai.
Les cultures humaines ont divers patrons d’organisation sociale, lesquelles sont destinées a la régulation des relations sociales entre les individus. A l’interne d’une société particulière, ses membres peuvent comprendre le comportement de la mayorité du gens et en plus peuvent prévenir les réactions d’un individu face aux divers déterminants ou situations. Mais, les êtres humains de temps en temps ne sont pas préventifs et les techniques ne sont pas dignes de confiance.
Malgré les connaissances et les techniques sures, plusieurs activités journalières sont sujets a l’échec, pas pour une manque de maîtrise, sino du a facteurs inexplicables, sans prévision aucune et par conséquence mystérieuses.

Comme résultat de ce type des situations que perturbent le course quotidienne des activités humaines, toutes les sociétés que nous connaissons développent certaines normes ou patrons de comportements destinés à prévenir les situations inespérés, à maîtriser les relations de l’homme avec son contexte vital. A cette partie de la culture, on l’appelle religion. Due a que aucun peuple a réussi a avoir une certitude, ni dans les relations interpersonnels ni dans la technologie. La religion par conséquence est partie de chaque culture.[2]

A partir de cette conception de la religion, nous pouvons établir plusieurs liens entre l’inconnue et l’imaginaire de la population face à ces inconnues. Le concept de santé – maladie est un concept dual, avec connotations d’inexplicable. La maladie échappe généralement au control des certitudes humaines. Les liens entre religion et santé – maladie est aussi établie, dans sa relation avec l’incertitude. En sachant la conception que la maladie est un produit d’un équilibre des forces ancestrales.

Par contre, pour les historiens équatoriens, la religion est un besoins du cœur humain, elle est la distinction entre nous (humain) et les bêtes. Elle est la soif de communication avec un monde meilleur, quelque chose qui pourrais satisfaire la soif d’infinie…[3] De ce point de vue, nous pouvons déduire que la religion est une recherche du sacré. D’une perfection qui dépasse la réalité quotidienne. Un infini équilibré, juste, saine…la maladie pourrait être interprété comme quelque chose « sale ». La médecine serait un facteur sacré de « nettoyage » probablement.

La conception scientifique de la santé – maladie due a des causes biologiques concrets et objectivantes, est un élément des cultures occidentales, un produit qui a été exporté à l’Afrique et à l’Amérique du sud a partir de la science européenne. Une désacralisation du soignant – sainteté, qui devienne simplement une curation médicale.

o La cosmovision religieuse perçue dans la RDC

Dans al RDC, la population est principalement rurale. Une gamme des intégrations tribales existe dans la dynamique interne, l’influence des cultures occidentales est moindre de point de vue religieux, spécialement dans la campagne. L’exception, sont les divers courants protestants lesquelles assurent un important syncrétisme avec les cultures locales. Produit ce ce syncrétisme, les « chambres des prières » deviennent un élément de repère dans la dimension santé – curation - religion. Selon l’étude de SCUK en 2006, 14 % des épisodes de maladies sont dirigées vers un « tradi - praticien » et seulement 2 % arrivent aux -hôpitaux. Quelle relation existe-t-il ?
o La cosmovision religieuse perçue dans l’Equateur

Dans l’Equateur, l’influence de la culture occidentale a limité la vision animiste des populations amérindiennes, plutôt un syncrétisme est observable à divers niveaux. L’influence sur la perception de la santé – maladie est important puisque certaines églises protestantes promotionnent le lien entre maladie est péché. Par exemple : Le révérend William Soto Santiago[4] disait que le plus important est le pardon des péchés ; puisque la maladie est le résultat du péché. Si Christ pardonna nos péchés, nous pouvons atteindre la sainteté de nos corps. La santé de l’âme est le plus importante. Divers évangiles devienne ses piliers référentiels, ainsi, Saint Juan c. 3. Même la vie éternelle est possible. Dans ce contexte, il existe une triade : santé – maladie – péché. Pourra l’accès aux soins compenser avec le pardon des pêchés ? En sachant que 98 % de la population est catholique ou protestant.
· De l’émergence du fantôme de l’enfance dans le cosmo métissage tropical (chapitre II)

L’importance que la société octroi a ses acteurs est en relation avec ces imaginaires. En Equateur et la RDC, la représentation culturelle de l’enfance est envisagée par des visions différentes. Dans la RDC les enfants sont imaginés comme la continuité des adultes anciennement décédés, par conséquence le concept d’un nouvel être, inerme n’est pas l’image prépondérante, sur tout dans la ruralité paysanne. Une raison que permet aux enfants d’être enroulés dans les forces armées, le courage est confirmé avec divers actes d’extrême violence. Il y a la perception de que chaque enfant représente un ancien combattant (ancêtre). L’enfance est un retour d’un ancêtre. Il n’est pas un être nouvel ou inerme, par conséquence sa priorité dans la société n’est pas assuré.

Dans l’Equateur, cette vision invite au paradoxe. Les sociétés urbaines avec forte influence occidentale interprètent l’enfance comme une étape extrêmement vulnérable, situation que demande des droits spéciaux. Egalement les soins pour l’enfant sont vus comme un investissement générationnel et familial.
Dans les secteurs ruraux, l’enfance a un caractère de « main d’ouvre » pour le secteur agricole. Il n’existe pas l’idée de contiguïté entre ancêtres et enfants, il y a la vision de rénovation générationnelle avec particularités propres, c’est-à-dire un nouvel individu, mais avec une vision de profit implicite. Une espèce « d’investissement pour la veilleuse ».
o La représentation culturelle perçue de l’enfance en RDC
L’enfance comme étape anthropologique dans la vie des sociétés congolaises, existe-t-il ? Elle représente une « vrai chemin » entre le rien et l’adulte ?
o La représentation culturelle perçue de l’enfance dans l’Equateur
L’enfance dans les anciennes tribus pre – hispaniques fut un concept réel dans son imaginaire ou simplement un produit incorporé par occident avec le métissage?


· Conjures, rituels et amoxicilline 250 : le droit acquiescé d’accès à la mort. (chapitre III)

Comment nous pouvons comprendre que « la médecine » comme système, un outil de service à la vie ait besoins des grands efforts pour motiver l’adhésion des bénéficiaires du service ? Ces efforts sont des véritables programmes appelées : community participation. Quel type de sorcellerie est contre l’action humaniste de la médicine à l’occidentale ? Pour quoi nous avons besoins d’une armée de marketing pour y séduire aux patients ? Quels sont les rituels manquants à l’amoxicilline qui le permettrais devenir un vrai conjure contre la maladie et la mort prématurée? Peut-être nous n’avons encore compris le droit acquiescé des populations à la mort ? À « sa » mort. Peut-être nous n’avons encore compris les limites de l’amoxicilline comme un autre système culturel, un système parallèle à la médecine « traditionnelle », mais un autre produit culturel également ?

En retournant sur le thème de l’accès aux soins, en plus de ces facteurs, quelles sont les implications sur l’accès aux soins pour l’enfance ?

L’accès aux soins de santé pour les enfants, est beaucoup plus effectif dans l’Equateur, avec multiples inégalités dans le secteur économique. Par contre dans les régions andines, amazoniennes rurales, une connotation culturelle a une influence importante dans l’adaptabilité des services. La tendance à utiliser la médicine naturelle et traditionnelle est observée avec résultats variables.
o Le droit d’accès aux soins de santé dans la RDC, rituels et conjures

En relation à la RDC, l’accès aux soins est encore plus difficile, 44 % des épisodes maladie correspondent aux enfants de moins de cinq ans, 51 % des décès se pressentent aussi dans le même groupe d’age. L’importance de la culture est évidente, quand 17% de la population déclare que les causes des maladies sont dues à la sourcellerie, comme nous avons déjà présente au début du chapitre.[5]

o Le droit d’accès aux soins de santé dans l’Equateur, rituels et conjures
Selon Kroeger[6], seulement le 30 % des malades sont reçus dans les centres médicaux en Equateur ; 50 % préfèrent l’auto médication ; 10 % arrivent jusqu’à la pharmacie et 10 % assistent exclusivement au « curanderos ».

· De Tarapoa à Boende : l’insidieux délire déguisé en relation consentie (chapitre IV)
o Relation entre l’imaginaire religieuse perçue et la représentation culturelle de l’enfance en RDC et dans l’Equateur.
Les manifestations religieuses au Congo se regroupent au tour du culte aux ancêtres. La projection de la vie d’un individu avec le sacré n’est pas fixée sur le concept d’un nouvel être, produit d’une nouvelle conception. Au Congo l’enfant est une prolongation d’une vie adulte antérieure. La mite du nouveau né, innocent et inerme, est imperceptible. La pureté du nouveau né est son authenticité ne sont pas garantie dans l’imaginaire local. Cette ingénuité en occident est une de pilier justificatif de ses droits, même si il n’est pas le plus indispensable.
Les conceptions religieuses congolaises identifient l’enfant comme un être – lien avec l’ancêtre. Il est le « retour » d’un ancien membre de la famille, a qui on nome justement avec les prénoms de ces grands pères. Le nouveau né et après l’enfant est en processus de révélation, il se identifie pleinement dans et avec la famille comme le retour d’un ancien membre déjà décédé. Ce processus de souvenirs ne permet pas identifier l’enfant comme un être qui grandi de façon spontané et libre. Il arrive en connaissance de cause et par conséquence il n’est pas innocent. Il est un être face au devoir de se souvenir de sa culture et de ses normes et pas un être en apprentissage ou formation. De cette idée est né la vision que l’enfant n’est pas un être vulnérable même biologiquement, deuxième facteur qui difficulté sa prioritisation dans la famille et la société. La structure de la pensé de l’enfance comme concept culturel est aussi faible et dirais presque inexistant entres les anciennes tribus de l’Equateur, le syncrétisme est beaucoup plus visible actuellement. La religion catholique a implanté la vision de l’enfant Jésus, comme un icône qui représente la noblesse, la divinité en potentialité mais aussi la candeur, la limpidité, la transparence d’un nouveau être, avec la divinité en soi. L’enfant Jésus est finalement Dieu lui-même.
François d’Asis, selon l’église catholique eu l’idée de représenter l’enfant Jésus avec un nouveau née dans les fêtes de nativité. Cette habitude a pris profondément dans la culture religieuse locale. Cette relation est devenue historique avec les béatifications des enfants latino-américaines comme Laura Vicuňa[7] (Chile, Juan Pablo II, 1988). D’autres personnalités comme Térésa des Andes[8] ont aussi renforcé ces liens entre enfance et sanctification. En Espagne, Alexia est en processus de béatification, en étant un exemple sur la relation de l’enfance avec la sanctification à travers la souffrance de la maladie.

o Relation entre l’imaginaire religieuse perçue et l’accès aux soins de santé en RDC et dans l’Equateur
La relation avec la divinité dans la RDC que j’ai pu connaître, a une reconnaissance multidimensionnelle, une relation multiple et variée qui s’imprègne d’une vision presque panthéiste. La présence du sacré est un vécu quotidien est permanent ; il habite dans l’aire.
La structure religieuse dans la RDC joue par conséquence, un rôle dans la dynamique sociale, sur tout sur l’importance de l’enfance, mais aussi sur la perception des services de santé occidentaux ou à l’occidentale. Ce syncrétisme de perception même, est devenu visible pour moi, dans ce mélange entre les soins hospitaliers comme un droit et les soins comme un palliative, ou simplement comme une formalité légale ou social. L’idée que la vie humaine à une durée préétablie par la nature, et que par conséquence les soins médicaux jouent un rôle de facilitateur simplement face a la maladie.
Dans un autre contexte, la maladie comme telle est perçue en grand parti comme le mal produit pour autrui. L’instrument est la sourcellerie ou la possession, mais toujours il y a une autre personne dans la communauté ou dans les alentours qui produit par ces envies, la maladie. La curation provienne toujours de l’intérieur de la communauté, et à une connotation magico – spirituelle.
Dans ce contexte, la relation entre soufrant et sa perception religieuse de sa « maladie » modifie l’accès aux soins.
En Equateur, parmi la population amérindienne la maladie provienne pour la surexposition au froid ou la chaleur, par conséquence la classification des maladies est en relation aux ces deux éléments. Les causes peuvent être une maladie de Dieu, l’influence d’un esprit ou « hechicero » sourcier. Un autre élément est le du vent ou l « espanto » une espèce d’exposition aux esprits du au delà. Par contre dans les villes, la conception occidentale de la médecine est plus forte. Par conséquence la conception du sacré comme élément causal de la maladie ou de la souffrance a des points en commun entre les deux pays.
Le patient a un rôle passif dans ces conceptions ; il est victime d’autrui ou des énergies négatives de la nature. Dans la conception occidentale le patient est aussi la victime des éléments externes comme les bactéries ou virus qui attaquent un organe ou système corporel. Dans la conception au Congo et dans l’Equateur la maladie est holistique, systémique en attaquant tout l’être.

o Relation entre la représentation culturelle de l’enfance et l’accès aux soins de santé en RDC et dans l’Equateur.
Le vécu parmi les populations congolaises comme un « observateur engagé » m’a permis d’inventer un regarde multidimensionnelle. Quand je parle de vision multidimensionnelle, il faudrait comprendre comme une vision à partir de plusieurs points de départ. Ces points de départ culturels sont les « normes » du regard. Ma propre origine métissée et la pérégrination culturelle ou transhumance.
En relation avec la représentation de l’enfance, sur un angle grossier je pourrais raconter, m’impression peu solidaire sur cette réalité dans la comparaison entre le contexte congolais et équatorien : L’enfance comme entité avec une singularité claire est une espèce de fausse interprétation segmentée d’une réalité plus vaste. Pour les populations amérindiennes comme les Secoyas l’enfance est un état adulte des personnes du passé, c’est-à-dire les ancêtres. Paradoxe qui se rencontre avec la population congolaise rurale comme les Monro du foret congolais, pour qui il existe une espèce d’éternel retour des ancêtres, raison pour lequel dans le passé même les épouses du mort été enterrés avec, quand la personne jouisses d’une certaine position sociale.
L’enfance comme vécu a un point en commun, dans le deux contextes, elle est une image de civilisation et de créativité temporelle dans les deux sociétés. Une image en miroir d’un mimétisme occidentalisé qui a été fortement promotionné grâce aux projets humanitaires et d’autres. La valeur social de l’enfance en soi même a permis sa création comme entité singulier dans des cultures ou l’état adulte a primé comme seul représentation humaine accompagné de la vieillisse, état de sagesse et doté d’une auréole de respect dans s’utilité decrescendo face a la lutte pour la survie dans les milieu agrestes.
La priorité sociale a eu dans presque toutes les sociétés humaines une relation intime entre survivance du groupe et de l’individu. Dans le contexte des soins de santé primaire existant, la notion de priorité aux enfants dans les soins est une notion nouvelle.
· A guise de conclusion : Les ficelles de l’imaginaire religieuse et l’allégorie de l’enfance sur l’accès au soins de santé en RDC et l’Equateur. (chapitre V)

Occident n’accepte pas la mort. La médecine occidentale a une tache, presque une mission de combattre la mort, de trouver un antidote pour elle. De ce point de voue l’inaccessibilité aux soins est inadmissible, un crime contre l’humanité, contre la vie et le droit à l’éternité en soi. La médecine occidentale est devenu une lutte contre nature pour l’immortalité.
Dans l’Afrique noire et particulièrement les secteurs ruraux du Congo, le vécu de la mort est une situation toléré, un acte paradoxal de l’éternel retour des esprits, qui redeviennent « enfants ». La mort est une partie de la vie. La médecine a comme but, l’accompagnement du corps, son appui, mais pas nécessairement la lutte pour la vie éternelle. De ce point de vue, l’innascibilité aux soins a toute une autre perspective. La médecine occidentale aide à bien mourir, aide à soulager la douleur, mais elle ne cherche pas le chemin de l’immortalité.
Il n’existe des limites claires entre médecine et esprit religieux dans le vécu culturel de la RDC et l’Equateur interne. L’hégémonie de la logique occidentale n’a pas pu encore maîtriser ou s’imposer dans ces région de façon totalitaire comme ailleurs. La question est, réellement ce division entre vécu religieux et science existe-t-elle ?


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[1] Falsae perniciosaeque doctrinae animas hispanorum multo infelicius quam corpora barbarices gladius trucidarunt. Epist, CLXVI. De origine animae hominis.
[2] Antropologie, Benson.
[3] Manabi : prehistoria y conquista, Wilfrido Loor Moreira, La Salle, 1956
[4] Quieres ser sano ?. La Voz de la piedra angular. www.carpa.com
[5] Enquête SCUK. RDC 2006
[6] Salud en el Ecuador, Kroeger, 1982
[7] Née en Santiago de Chile en avril 1891. Décédé le 22 janvier 1904 après avoir mis en « offrande » e sa vie pour la salvation de sa mère.
[8] Née en Santiago de Chile en 1900. Carmélite à partir de 18 ans. Décédé au 19 ans.

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